mardi, octobre 26, 2004

Voyage au bout de la nuit

a pariah

En Afrique j'avais en effet trouvé un genre suffisamment épouvantable de solitude mais l'isolement de ce tas américain de fourmi était plus se brisant.

(In Africa I had indeed found a sufficiently frightful kind of loneliness but the isolation of this American ant heap was even more shattering.)